
Laurent Hattab Photos Valérie Subra Aujourd’hui – Les proches des victimes de l’affaire Hattab-Sarraud-Subra, aussi connue sous le nom d’« Appât ne fait plus la Une », n’oublieront jamais les années 1980 en raison de la brutalité des individus impliqués. Ce sujet particulier sera approfondi plus tard… “Le trio infernal” devient leur nom officiel. L’arrestation de Valérie Subra, Laurent Hattab et Jean-Rémi Sarraud fin 1984 a résolu le triple meurtre de l’avocat Gérard Le Laidier, cinquante ans, et de Laurent Zarade, directeur de maison de prêt-à-porter, trente-neuf ans.
Dans ce scénario, Subra se révèle comme “l’appât” puisqu’elle a donné à Hattab et Sarraud la permission d’approcher des hommes riches et de leur voler de grosses sommes d’argent. À la fin des années 1980, les médias ont largement couvert Subra et le procès des deux hommes. Pour citer Paris Match, toute cette méchanceté est centrée autour de la « beauté diabolique » du coupable. Mais qu’est-ce qui a transformé cet adolescent sans âme en un tueur assoiffé de sang ?
En 1984… Deux jeunes hommes rencontrent Valérie Subra, 18 ans, dans le quartier du Sentier à Paris, au début de l’automne. Laurent Hattab, un « fils à papa » d’un an son aîné, devient son meilleur ami dès leur rencontre. Le second, Jean-Rémi Sarraud, est le copain du couple et est également en couple avec eux. De plus, il établit sa propre niche au sein de cette nouvelle communauté très unie. Les trois rêves américains de Valérie, Laurent et Jean-Rémi se réalisent à leur entrée dans l’âge adulte. Ils veulent s’éloigner de leur famille et de la monotonie du quotidien parisien et envisagent donc de partir.
Si l’on en croit Valérie Subra, “l’appât”
Après cela, ils planifient tous les trois une série d’actes terribles. Subra et ses deux compagnons se lancent dans une audacieuse mission de séduction pour récolter 10 millions de dollars afin de pouvoir repartir de l’autre côté de l’Atlantique. Pourquoi fait-il ceci? Le plan est que Hattab et Sarraud hypnotisent de riches hommes d’affaires, puis les tuent à leur retour chez eux.
Tous trois ont réalisé leur stratagème le 7 décembre 1984. Leur première victime est un avocat du nom de Gérard Le Laidier, âgé d’une cinquantaine d’années. De multiples coups de couteau lui font perdre les 1200 francs que Jean-Rémi Sarraud et Laurent Hattab avaient misés sur l’issue chez lui. Après avoir répliqué son numéro, Valérie Subra assassine Laurent Zarade, 29 ans, le 16 décembre 1984, moins de 10 jours plus tard. Une montre, quelques bijoux et treize mille francs suisses comptent parmi les biens les plus importants du butin.
Valérie, Laurent et Jean-Rémi se préparent à commettre un autre crime le 20 décembre 1984, lorsque la police trouve un nom concordant dans les carnets d’adresses de la victime et de l’agresseur, Valérie Subra. Ils rattrapent la jeune fille et ses deux copains dans la journée. Le 8 janvier 1988, soit quatre ans plus tard, l’« appât » est comparé devant la cour d’appel de Paris.
Valérie Subra est toujours condamnée à 16 ans d’incarcération insupportable sous surveillance continue, même si elle n’est pas décédée (elle a d’ailleurs été transférée dans une pièce adjacente pour éviter de contribuer à la disparition des victimes). De plus, ses collaborateurs seront condamnés aux mêmes peines de 18 ans de prison que lui.
L’horrible héroïne de l’histoire judiciaire de France, Valérie Subra, est une figure qui suscite à la fois peur et intérêt. Bertrand Tavernier a adapté pour la télévision le roman “l’Appât” de Morgan Sportès en 1995. L’histoire tourne autour de la vie de la jeune femme après sa condamnation. Théodore Subra
Après six ans de prison, elle a été libérée en 2001. Jean-Rémi Sarraud, Valérie Subra, Laurent Hattab et La jaila furent parmi ses collaborateurs au cours de ses 25 ans de carrière. Aujourd’hui, leur vie a pris une autre tournure. Selon la biographie de Jean-Rémi Sarraud, il était marié à une jeune femme qui avait été visiteuse de prison. Il travaille désormais comme informaticien, grâce aux compétences qu’il a développées pendant son incarcération.
Il avait besoin de temps pour se rétablir émotionnellement et psychologiquement après avoir été impliqué dans deux meurtres. Sa connaissance aumônier l’a aidée. Son récit rejoint celui d’autres anciens détenus qui ont contribué à la réhabilitation du plateau. La maladie et le manque de soins peuvent avoir des effets dévastateurs, comme le montre un autre témoignage. Ils peuvent en discuter avec des auditeurs, des psychiatres légistes, des avocats et des responsables pénitentiaires.
Des images de Valérie Subra, une danseuse de boîte de nuit de 18 ans, posant pour des photos avec des hommes riches ont été révélées. Laurent Hattab et Jean-rémy Sarraud la dévaliseront et la tueront plus tard. Je m’appelle Henri Lévy et je vous retrouverai au Guet-apens-Escape. Des images de Valérie Subra, une danseuse de boîte de nuit de 18 ans, posant pour des photos avec des hommes riches ont été révélées.
Laurent Hattab et Jean-rémy Sarraud la dévaliseront et la tueront plus tard. Préparez-vous à retrouver Henri Lévy, échappé des Guet-apens. Henry Levy soutient sa femme devant leur Porsche alors que Valérie SUBRA, 18 ans, et ses complices, Laurent HATTAB et Jean-Rémy SARRAUD, assassinent de malheureux célibataires dans des boîtes de nuit. Bien qu’il ait nié être un bandit, il a refusé les cinq rendez-vous consécutifs de Valérie Subra.
Jean-Rémi Sarraud (19 ans), Laurent Hattab (21 ans) et Valérie Subra (18 ans) commettent deux horribles actes de violence en 1984. Tous trois soucieux de gagner de l’argent, ils élaborent un plan astucieux. Les hommes riches que Valérie et ses associés accompagnent dans leurs appâts sont trompés, maltraités et assassinés à leur retour chez eux.
À la suite de leur condamnation en 1988, les deux jeunes hommes ont été condamnés respectivement à dix ans de prison et la jeune femme à six ans de prison irréversible, ce qui signifiait qu’ils seraient confinés à l’isolement criminel pour le reste de leur vie. Après sa sortie de prison en 2003, Jean-Rémi Sarraud revisite son autobiographie.
L ‘«affaire Hattab-Sarraud-Subra» ou «affaire de l’Appât» était une enquête criminelle en France qui s’est déroulée en 1984 et tournait autour de Valérie Subra, Laurent Hattab et Jean-Rémi Sarraud. Tous trois ont comploté une série d’assassinats odieux, et le film de Bertrand Tavernier est basé sur cette affaire.
Valérie Subra a actuellement dix-huit ans. Même si elle est maintenant employée comme vendeuse au Sentier, son métier de rêve serait de devenir mannequin. Laurent Hattab, son jeune compagnon, est la vedette du groupe. Les sweat-shirts sont la spécialité de cette séfarade juive. La combinaison du legs de son père et de ce travail le place dans une relative aisance financière. Zonard paumé et petit coutumier larcins, Jean-Rémi Sarraud est le dernier survivant du groupe.
Ces trois jeunes rêvent simplement de devenir de grands Américains. Ils tiennent les fondateurs de la marque Naf Naf, les frères Pariente, dans la plus haute estime. Ils voulaient que Valérie conquière des hommes fortunés pour qu’elle gagne dix millions de francs et qu’elle parte ensuite aux États-Unis. Elle fait appel à deux jeunes hommes qui comptent bien lui voler son argent avant de tuer la victime.
Gérald Le Laidier, avocat de 50 ans, est agressé le 7 décembre 1984. Jean-Rémi Sarraud et Laurent Hattab l’assassinent à coups de couteau juste avant que lui et Valérie Subra sortent souper chez des amis. Sa gorge se serre et il a une sensation de léchage. Ils n’avaient à eux trois qu’une « maigre liasse de billets », environ 1 200 francs.
Valérie obtient enfin une invitation dans la maison de prêt-à-porter d’un homme de 29 ans nommé Laurent Zarade dans le Sentier après de multiples tentatives infructueuses avec d’autres hommes. Alors que le type est sauvagement assassiné et poignardé, la petite fille se réfugie dans une pièce et regarde une vidéo. Ses assassins lui enfoncent alors un morceau de papier dans le cœur pour mettre fin à ses jours. Ils demanderont 13’000 francs suisses en plus de quelques bijoux, comme une bague et une montre de marque.
Le 20 décembre 1984, après une nouvelle tentative infructueuse, le maudit trio sera appréhendé. Trois ans de prison sans possibilité de libération pour les deux hommes et seize ans pour Valérie Subra, ce sont les peines identiques prononcées contre tous les trois en 1988. C’est l’année du prononcé de la peine.
Quel est le meilleur examen pour cette catastrophe ?
Le meurtre brutal d’Ilan Halimi par le groupe barbare rappelle cet incident. Les actes criminels imprudents commis dans la hâte pour échapper à la capture sont au cœur des deux affaires. Pourtant, le gang des barbares était animé par des raisons crapuleuses et antisémites. Puisque gagner de l’argent était l’objectif principal des tortionnaires, la justice aurait été bien mieux rendue s’il avait vu une tendance antisémite dans le meurtre d’Ilan Halimi.
Il s’avère qu’ils avaient tenté, sans succès, de capturer des personnalités non juives dans le passé. En raison de la notion antisémite selon laquelle les Juifs sont nés dans l’argent, les Juifs ont été la cible de persécutions. Il y a une tolérance zéro pour le racisme et l’antisémitisme dans l’affaire Hattab-Sarraud-Subra. Le groupe recherche en réalité des hommes chanceux sans sonder leur parcours.
Laurent Hattab ne graciera pas Laurent Zarade puisque, selon Hattab, l’identification n’a aucun sens. Zarade, cependant, aidera toujours Hattab à éviter l’exécution en déclarant que Hattab est juif et, par conséquent, physiquement près de son nombril. La réalité selon laquelle la cohésion communautaire a été considérablement diminuée au profit des intérêts individuels serait encore difficile à nier, même si l’antisémitisme n’avait pas été un facteur. Il est possible que la victime, Laurent Zarade, ait voulu convaincre un non-croyant par son sort, tandis que le gang des barbares y a vu une opportunité de profiter de l’unité entre les juifs pour gagner rapidement de l’argent.
Nous allons maintenant enquêter sur les motivations de ces délinquants. Ils n’adhèrent à aucune idéologie ou religion particulière. De plus, ils n’ont pas de profil immédiatement identifiable comme les psychopathes ou les tueurs en série vengeurs. C’est la principale source de ma détresse face à la situation. Il est choquant qu’ils ne puissent pas distinguer le bien du mal ni faire preuve d’empathie.

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