
Gallagher Fenwick Wikipédia – J’ai toujours eu un intérêt et une facilité avec les langues et les cultures étrangères ; en fait, je parle couramment cinq maintenant grâce à mon passage à la prestigieuse École de journalisme de Sciences Po. Une grande partie de l’instruction a été dispensée en anglais. Deux Chinois, trois Américains, un Russe, un Tadjik et une poignée d’étudiants ayant la double nationalité constituaient le corps étudiant.
C’était un vrai méli-mélo, et puis il y a eu le double diplôme de Columbia à New York. Les amitiés solides se classent au troisième rang sur la liste des priorités. Que ce soit Gallagher Fenwick, Laurent Desbonnets ou Ksenia Bolchakova, mes amis de Sciences Po sont toujours des amis proches et des confidents dignes de confiance.
Je m’en souviens très bien et le simple fait d’y penser ou d’en parler me rend heureux. Ces deux dernières années à l’École de journalisme de Sciences Po ont été magiques et enchantées. Nous avons fait la fête comme des fous et nous nous sommes bien amusés. Je me souviens avoir travaillé jusque tard dans la nuit pour terminer un format de magazine sur la Pologne ; le sujet était épouvantable, mais l’équipe était entièrement dévouée à faire avancer leur montage.
Il y avait une concurrence incroyable parce que les professeurs étaient des génies. Notre relation était fondée sur le respect et l’appréciation mutuels sans aucun semblant de hiérarchie. Je suis actuellement tutorat du directeur de l’information de France TV car c’était une très bonne préparation pour les reportages que nous devons écrire.
Mais j’ai le plus grand respect pour lui et son rôle. Les saltimbanques, ces gens qui portent des sacs lourds et accomplissent des tâches dans le froid ou sous un soleil de plomb, sont ce que sont encore les correspondants au sol.Si un étudiant d’aujourd’hui voulait faire carrière dans le journalisme, quel conseil lui donneriez-vous ?
Mon premier conseil est quelque chose qui m’a souvent été rappelé en tant qu’étudiant : vous devez vous lancer dans le domaine de votre choix avec enthousiasme et détermination, et vous ne devez pas vous retrouver là par accident. C’est un métier exigeant qui peut être à la fois prestigieux et brutal. On peut être totalement dans la tendance maintenant, et complètement en dehors demain. Obtenir un emploi est une autre préoccupation; malgré un diplôme d’une institution prestigieuse comme Sciences Po Paris, il peut être difficile de trouver du travail.
Tout au long de ma carrière, j’ai dû me battre pour avoir l’opportunité de faire le genre de reportage que j’aime, sur le terrain, pour un salaire équitable et un contrat sûr. J’ai aussi dû me battre pour faire reconnaître la valeur d’une expérience de reportage acquise dans un réseau américain par des employeurs français. Pourtant, cela me surprend que tant de journalistes sur le terrain utilisent un anglais bâclé.
Mon deuxième conseil est de faire très attention à l’heure de la journée. La majorité des employés de la radio et de la télévision devront travailler le matin à un moment donné de leur carrière. Cela signifie se réveiller vers 2 heures du matin, quatre ou cinq jours par semaine. Il y a des défis supplémentaires à considérer lors d’une mission, comme les journées de travail de dix-huit heures et la nécessité d’un effort continu pendant quinze, vingt ou trente jours.
Alors qu’il menait une interview en duplex à Gaza, Gallagher Fenwick, reporter anglophone de France 24, a été interrompu par une roquette tirée à quelques mètres de lui. Il y a ce qui semble être les restes d’une roquette juste à côté de l’endroit où nous nous tenons maintenant. Le journaliste inquiet a déclaré : “Nous ne resterons pas ici très longtemps car il y a généralement une réfutation peu de temps après ;
Des informations supplémentaires ont été fournies le lendemain par Gallagher Fenwick. Il se demande si les auteurs du bombardement, qu’il impute au Hamas, savaient que des journalistes étrangers étaient présents, et il souligne qu’Israël n’a jamais répondu à l’ordre d’évacuation. Après avoir ressassé la séquence précédente, l’auteur conclut : « Il s’agissait évidemment de lancer des roquettes depuis des zones civiles », ce que l’on peut voir à la 40e minute de la vidéo ci-dessous.
Le troisième et dernier volet de la légendaire Dollar Trilogy, “Le bon, la brute, et le truand”, a été réalisé par Sergio Leone (sous le pseudonyme de Bob Robertson) en 1966 et a une musique d’Ennio Morricone (qui n’est “que” un compositeur).
Le 17 mai à 23h00 UTC, l’auteur Gallagher Fenwick a raconté la vie incroyable de l’acteur devenu chef militaire Volodymyr Zelensky dans sa biographie.A 23h00 le 17 mai, le célèbre journaliste et auteur de “Volodymyr Zelensky : l’Ukraine dans le sang” (Éditions du Rocher) Gallagher Fenwick était présent.
Lors de la cérémonie d’ouverture du Festival de Cannes, Vladimir Poutine, ancien acteur et actuel chef de l’Etat, a offert à Gallagher Fenwick “le rôle de sa vie” par visioconférence. Au cours d’une guerre où les images et la communication ont joué un rôle critique, l’auteur note que Volodymyr Zelensky “excelle” dans cette entreprise.
Un destin vraiment particulier
Il a amélioré sa « communication pour entrer en résonance avec son peuple mais aussi pour conquérir les cœurs et les esprits bien au-delà des frontières de son pays », comme disent les Français. C’est assez ironique pour quelqu’un qui est entré en politique dans le but de faire régner la paix. Le comédien autrefois décrit est maintenant largement tenu en haute estime dans toute l’Ukraine.
J’ai débuté à l’Institut Universitaire de France (I.U.F. ), puis transféré à Assas (Université de Paris II), et suis maintenant inscrit à Sciences Po. J’ai regardé quelques reportages télévisés étrangers. Nous sommes allés en Algérie pour tourner des articles de magazine et en Pologne pour documenter l’Holocauste en vue de sa publication.
Dans le cadre de mes études à Sciences Po à Paris, j’ai passé du temps à Columbia University à New York. Columbia est largement considérée comme l’une des meilleures écoles de journalisme au monde. J’ai toujours ressenti un lien profond avec Sciences Po ; l’institution est un centre de recherche fantastique axé sur l’internationalisation, l’application pratique et une perspective mondiale.
J’ai fait un stage avec le réseau d’information américain ABC alors que j’étudiais à l’Université de Columbia à New York. Alors que j’étais encore à l’école, j’ai pu décrocher un poste d’analyste CDI chez ABC. C’était comme se réveiller d’un rêve. Je travaillais dans un bureau de Londres qui s’occupait de l’Afrique, de l’Europe et du Moyen-Orient. Quand j’ai commencé à écrire des reportages, je l’ai fait en anglais.
Après avoir travaillé pour ABC News pendant quatre ans, je suis devenu freelance pour la chaîne AP et France 24 (d’abord en anglais, puis en français). J’ai rendu compte des attentats terroristes en France, en Europe et en Afrique ainsi que des Jeux olympiques de Sotchi au Brésil, de la Coupe du monde au Brésil, de la Coupe d’Afrique des Nations en Afrique du Sud, du Championnat d’Europe de football en Ukraine et de nombreux autres événements. . J’étais à l’avant-première 2016 de la chaîne France Info de France Télévisions.
Où travaillez-vous actuellement ? Dans quelle mesure une journée comme celle-ci ressemble-t-elle à une journée de travail typique pour vous ?Je suis grand correspondant de France Télévisions et membre de l’équipe de France Info TV. Mon endroit préféré à visiter est les États-Unis, et j’y retourne souvent.
J’étais journaliste pour les campagnes Trump et Biden. Je fais des films dans un large éventail de styles, des courts métrages d’une minute aux longs métrages documentaires. Je fais également de mon mieux pour plaider en faveur d’un format de fichier adapté au Web comme la meilleure option pour mes écrits.
Je fais maintenant un reportage sur le conflit en Ukraine. J’essaie de passer tous les deux mois. J’ai également passé un an et demi à contribuer aux services d’enquête et de reportage de France 2 et France 3. C’est ce qui a motivé un déplacement de deux semaines dans les locaux de France 2 à Moscou.
Passer du temps en Russie pendant la guerre était vraiment étrange pour moi, car c’était un pays que j’avais visité plusieurs fois auparavant, mais toujours en temps de paix. Il a été frustrant de voir un pays qui semblait s’ouvrir au reste du monde se replier si rapidement sur lui-même.
Comment votre formation vous a-t-elle préparé au poste que vous occupez actuellement ?Sciences Po m’a permis de devenir le journaliste que je suis aujourd’hui.

ncG1vNJzZmiblaGyo77Em6Oon16bv3CzwKWjmp%2BYmr9ussSnrqKbm2LEqrfIqZydoZFk